[Flashback]Libre | Il y a de la magie dans l'air...

« Flashback»

« Octobre 2016, dans la maison de Prue. »

« A ce soir Freya.  » Elle me sourit tendrement. Elle me tape sur la tête comme si je suis sa fille, puis, elle me laisse rentrer chez moi après une matinée d’entrainement. Je suis épuisée, mais j’ai apprécié passer ce moment sportif en compagnie de mes sœurs guerrières. Cet environnement, cette deuxième famille me fait passer le deuil plus facilement. Je suis contente de pouvoir aller mieux.

Une fois chez moi, je fais bouillir de l’eau après l’avoir pris au puits. Dans la baignoire en bois, je vais me plonger dedans. Mes muscles se détendent. Je sens que la fatigue me fait comprendre qu’il faut faire une petite sieste. Ce que je fis sans avoir mangé. Sortant de mon lit, je m’habillais d’une tenue que j’apprécie beaucoup.

Ma robe blanche au coin du feu, je prépare ma table pour m’entraîner. Les Sages m’ont confirmé que je pouvais réessayer d’avoir les dons des valkyries. En effectuant mes recherches, ils ne sont pas trop éloignés de ce que j’avais étant sorcière. M’asseyant devant ma table, je me concentre un peu plus pour faire bouger des objets. Me concentrant un peu plus sur l’exercice. Je tente d’effectuer les conseils que l’on m’a donné.

Ne réussissant pas du premier coup, je lâche frustrée : « Flûte décidément, je vais devoir travailler d’avantage.   » Je me concentre encore un peu plus. Puis alors que je tente une nouvelle fois, on frappe à la porte. Je ne vais pas renvoyer la personne. Je me lève, mais oubliant de relâcher dans ma tête l’objet que je voulais déplacer.

Ma serviette de toilette arrive en plein dans la figure de la personne qui se trouve devant ma porte. « Pardon, je ne l’ai pas fait exprès.   » Je récupère ma serviette de toilette. Je vois la personne en face de moi. Je lui dis gentiment : « Entre et ferme la porte s’il te plait, la cheminée est allumée, je ne chauffe pas dehors.   » Je range en même temps la salle, puis, je lui demande gentiment : « Tu désirais quelque chose ?  » Je ne connais pas trop la personne, mais je vais être cordiale dans le but de ne pas choquer la personne ou d’être malpolie.